MetalPapy - The Village Metal pour les jeunes et ceux qui le sont depuis plus longtemps que les autres! |
|
| IRON MAIDEN The Book Of Souls (2015) | |
|
+12symphonie Hephaïstos Michu maiden Manex Peio Captain Kirk The Ancestor Of Metal maynine Ad Metal Eternam Beurk Rogers Helld (-|-) ween lynott 16 participants | |
Votre avis | 5/5 | | 11% | [ 2 ] | 4/5 | | 44% | [ 8 ] | 3/5 | | 22% | [ 4 ] | 2/5 | | 6% | [ 1 ] | 1/5 | | 17% | [ 3 ] | 0/5 | | 0% | [ 0 ] |
| Total des votes : 18 | | |
| Auteur | Message |
---|
nico Metal Master
Nombre de messages : 6248 Age : 49 Localisation : landes of the free (40) Date d'inscription : 06/07/2016
| Sujet: Re: IRON MAIDEN The Book Of Souls (2015) Lun 11 Juil - 7:33 | |
| moi, j'ai mis 5/5, car j'adore! alors, c'est assez différents de ce qu'ils ont déjà fait, mais tous les groupes évoluent de toute manière. on fait pas la même musique à 20 ans ou à 30 ans et alors que dire à 60 ans. on reconnais la couleur musicale du groupe sur tout les morceaux, avec des parties nous rappelant singulièrement d'autre titre (exprès, pas exprès....chacun aura son opinion là dessus) j'ai juste un reproche à faire sur la longueur des titres, beaucoup trop long à mon goût pour certain, comme the red and the black, pourtant mon titre préféré, mais plus de 13 minutes, je dirais qu'il y a bien 5 minutes au milieu de trop. pareil pour empire of the clouds hormis ça, je trouve sa très bon, et j'espère un prochain album, car moi je pense pas que se soit l'album qui clôturera leur carrière! |
| | | Ben-J Metal Kid
Nombre de messages : 253 Date d'inscription : 31/03/2017
| Sujet: Re: IRON MAIDEN The Book Of Souls (2015) Sam 1 Avr - 11:22 | |
| L’attente n’était pas énorme lorsqu’Iron maiden a annoncé un nouvel album. Depuis des années les anglais semblaient avoir perdue une grande partie de leurs inspiration et même si un grand morceau ressortait de la plupart de leurs albums l’ensemble de leurs carrière post « seventh son of a seventh son « allait du médiocre à l’acceptable. Après des années à se régime la « the final frontier « avait achevé tout espoir de renouveau artistique et on commençait à se faire a l’idée que pour entendre du bon Maiden le mieux c’était d’aller les voir sure scène. Présenté comme un album de métal progressif « the final frontier »se démarquait surtout par son manque d’inspiration souligné par la longueur de plusieurs titres.
Alors forcément quant Dickinson annonce que contre toute attente le derniers maiden sera aussi un album de rock progressif mais qu’il sera beaucoup plus long que son prédécesseur avec un morceau de 20 minute on s’inquiète ! On s’inquiète mais on s’interroge aussi : Un groupe de la trempe d’iron maiden peut il reproduire deux fois la même erreur alors que les problèmes de son chanteur lui ont montré qu’il était peut être plus proche du bout du tunnel qu’il ne le croyait ? Et surtout cet album vat il constituer la preuve ultime que maiden ne se préoccupe plus de la qualité de ses productions et privilégie désormais la quantité afin de satisfaire son publique ?
Je n’irais pas jusqu’à dire que ces interrogations ont relancées l’intérêt de la sphère rock pour maiden mais néanmoins elles intriguent et contre toute attente le verdict de tous les critiques rock et métal sera unanime. Non « the book of souls « n’est pas un aveu d’impuissance, c’est une renaissance ! Voila donc que les magazines comme « rock hard « « rolling stones « ou « rock et folk « parlent d’une seul et même voix et leur message est claire le miracle a bien eu lieu !
Des les premières note de « if eternity should fail » maiden retrouve sont inspiration et nous livre un métal progressif bien construit. Le morceau démarre sure les paroles de Dickinson qui sonne comme des incantations appuyées par des claviers futuristes avant que les guitares entre en action accompagné de la basse galopante de Steve Harris qui nous délivre un moment de classic maiden . Le morceau s’achève sure quelques arpèges macabre qui appuie le discours d’une voie d’outre tombe. A peine c’est on remit de cette véritable claque musical que la batterie ultra rapide du morceau suivant démarre.
Ce morceau si il constitue une nouvelle réussite n’est pas inconnue de tous car le clip a été diffusé plusieurs jours avant la sortie de l’album. Basé sure un rythme presque rock « speed of light « s’éloigne du métal progressif présent sur le reste de l’album pour nous délivrer 5 minutes de pure heavy métal, les envolés de guitares sont digne des plus belles heures du groupe on pense surtout aux joutes de guitare de l’album « powerslave «. The great unknow sans être aussi enthousiasmant est lui aussi très inspiré mais il montre un groupe plus apaisé, toutefois, rassurez vous ce calme n’est qu’un leurs, un petit intermède avant la tempête.
The red and the black viens immédiatement rehausser le niveau sonore, les riffs se font plus menaçants et l’ambiance dramatique du morceau suivie de ces « Oh oh oh » chantés comme des incantations tribales donnent des frissons. On imagine déjà ce morceau joué live avec un publique séduit reprenant en cœurs ses « Oh oh oh » d’outre tombe et donnant ainsi a « the red and the black « le statut de classique d’iron maiden au même titre que le célèbre « the number of the beast «. Après une telle fresque inutile de reproduire immédiatement un autre monument soigneusement bâtit par des guitaristes en pleins renouveau. Le groupe profite donc du titre suivant pour revenir a ces fondamentaux et « when the river run deep « démarre sure une avalanche de riffs qui ne s’arrêtera qu’a la fin du morceau laissant ainsi le temps a Iron maiden de redéfinir sa musique , les fans du maiden heavy se prennent ainsi une nouvelle claque après la bombe « speed of ligth « .
Ensuite vient le morceau éponyme de l’album qui reprend le coté « épique » de « the red and the black » on laisse facilement son imaginaire s’emparer des ambiances de ce morceau pour nous immergé plus rapidement dans se morceau. Puis c’est l’entracte, le premiers cd est terminé et plus de 50 minutes se sont passé entre les première paroles de Dickinson et la fin de « the book of souls «. Après cette expérience le constat est claire, non seulement maiden a enfin sortie un album inspiré mais celui-ci dépasse toute les espérances. Difficile alors de démarrer le second album sans enthousiasme, et c’est bien normal qu’après une telle première partie les anglais ai déjà presque gagné la guerre, on est même déjà prêt a leurs pardonner une éventuel baisse de régime.
Mais il n’en est rien et même si celle si aurait été légitime après cinquante minutes aussi riche le second disque (pour ceux qui ont choisie l’édition cd ) va s’avéré aussi passionnant que le premier . Cette seconde partie est composé de morceau plus posés , les ambiances reste soigné , les riffs inspiré avec pour point d’orgue le morceau final « the empire of the clouds » .
Ce morceau de 20 minute représente a lui seul presque la moitié de cette seconde partie, c’est le plus long morceaux d’iron maiden . Basé sure le récit du crash du zeppelin R101 « empire of the clouds » démarre sure une tonalité douce presque classique, la voie de dickinson est plaintive, on s’imagine bien le déroulement de cet accident lorsque les guitares finissent par monter crescendo jusqu’à l’accélération finale . L’album s’achèvent sure un derniers passage mélodique Dickinson qui achève son récit et ce « livre de l’esprit » se referme sur une le constat d’une renaissance.
Iron maiden est de retours et si l’histoire devrait malheureusement en rester la « the book of souls « représenterais l’épilogue idéal mais autant ne pas se mentir, nous attendons déjà la suite avec impatience. |
| | | Helld (-|-) ween Keeper of Helloween
Nombre de messages : 72855 Age : 55 Localisation : Pumpkins Garden Date d'inscription : 03/10/2007
| | | | Ben-J Metal Kid
Nombre de messages : 253 Date d'inscription : 31/03/2017
| Sujet: Re: IRON MAIDEN The Book Of Souls (2015) Lun 3 Avr - 17:41 | |
| C'est l'album qui m'a fait découvrir Maiden , j'avais eu un gros coup de cœur après avoir entendue "empire of the cloud". Bien sur cette chronique fut écrite après que j'ai écouté et réécouté les classique de la vierge de fer. L'ayant réécouté récemment je maintient chaque mots contenue dans cette chronique |
| | | Phil Metal Teen
Nombre de messages : 546 Age : 62 Date d'inscription : 06/10/2007
| Sujet: Re: IRON MAIDEN The Book Of Souls (2015) Sam 3 Nov - 11:07 | |
| Mon impression à moi à l'époque de sa sortie :
Chroniquer un album d'Iron Maiden aussi dense que The Book Of Souls après seulement 3 écoutes peut se révéler presque suicidaire. Mais bon, je m'y soumets volontiers.
Déçu par le précédent opus The Final Frontier que j'avais ouvertement vilipendé, le faisant passer pour un exercice complètement raté à mon sens, ce n'était pas sans appréhension que je décidai de poser le vinyle sur la platine. Avant cela, la pochette n'était sans me rappeler celle du premier opus montrant un Eddie solitaire et agressif à souhait qui erre dans les rues londoniennes. Là aussi, notre Eddie est seul, grimé en guerrier cannibale d'Amazonie et fait vraiment peur à tel point qu'elle a été tout récemment censurée par la RATP. De toute façon, il aura tout subi, notre Eddie national. Trépané dans Piece Of Mind pour être massacré par le groupe à la fin d'un concert à Dortmund, prisonnier dans sa pyramide dans Powerslave puis ressuccité pour Live After Death pour devenir policier du futur dans Somewhere In Time et carrément démembré dans The X-Factor, il est toujours bel et bien présent et le restera jusqu'à la fin.
Le triple album (version LP) s'ouvre sur If Eternity Should Fail : une intro inquiétante presque glaçante cloue d'effroi son auditeur tandis que Bruce Dickinson entre en scène a capella accompagné d'un rythme fort soutenu qui débouche sur un refrain qui ne restera pas dans les annales maideniennes. Cependant, la section rythmique envoie son lot d'énergie annonçant la charge à tout va. Un petit côté Ghost Of The Navigator pourrait avoir influencé ce morceau aux ambiances très ésotériques avec cette narration finale sortie presque d'outre tombe.
Le titre suivant intitulé Speed Of Light, supposé être donc le single de ce nouvel album, percute bien même si, cela ne demeurera peut-être pas un single-phare dans la carrière du groupe, se veut quand même, être largement supérieur à un El Dorado. Comment pourrait-il en être autrement ? Le groupe propose ceci dit de superbes envolées guitaristiques comme au bon vieux temps, oserais-je dire même si par moments, le Bruce éprouve quelques petites difficultés. Mais bon, il faut voir aussi ce qu'il a vécu l'année dernière.
The Great Unknown pour lequel j'ai déjà lu quelques impressions négatives, me ravit au plus haut point. Son intro à la basse, inquiétante et sombre à souhait, pourrait nous replonger dans certaines ambiances issues de A Matter Of Life And Death, un album que j'ai pourtant très moyennement apprécié. De belles harmonies de guitares viennent étoffer l'entame de ce morceau sur lequel vient se poser délicatement et délicieusement la voix de Dickinson accompagné d'un tempo très enlevé une nouvelle fois. McBrain est mis à l'honneur grâce sa prestation de toute beauté. Le morceau s'achève sur un passage calme et serein.......à l'image actuelle du groupe.
The Red And The Black, premier morceau très long de l'opus, n'est pas une cover de Blue Öyster Cult mais un titre composé seul par Steve Harris. Débutant immanquablement par une subtile intro à la basse de la part du Boss, le morceau nous emmène dans un espèce de voyage initiatique de par ses envolées guitaristiques encore une fois. On observe une gradation dramatique du titre, entrecoupé d'un passage à la basse, rappelant le trop célèbre Rime Of The Ancient Mariner, extrait de Powerslave puis d'un refrain qui comporte des "Oh oh oh" accrocheurs qui auront lieu de faire leur effet en live. Pendant ce temps, les trois artilleurs que sont Gers, Smith et Murray décochent leurs salves avec une redoutable efficacité. Après 13'33, nous n'avons aucunement eu l'impression de nous ennuyer.
Après une telle fresque, le groupe revient sur ce qui a fait sa popularité à savoir un titre spontané et rapide intitulé When The River Runs Deep. C'est une véritable avalanche de riffs qui vous enveloppe voire même vous asphyxie et qui, en presque 6 minutes, résume parfaitement le son Maiden. Putain, ça fait du bien.
Nous passons ensuite au morceau-titre The Book Of Souls introduit par une phase acoustique, chose que nos Anglais ont pris l'habitude d'exécuter depuis quelques albums. Ca nous rappelle The Talisman de The Final "beurk" Frontier mais aussi très brièvement Losfer Words et là, c'est bougrement beaucoup plus intéressant. Le tempo y est dans un premier temps presque pachydermique sur lequel vient se greffer le beau brin de voix de Dickinson. J'ai cru également ré-entendre un zeste de Rime Of The Ancient Mariner. Ce qui est drôle, c'est que l'écoute de cet album, à ce moment précis, me rappelle l'instant précis où j'ai découvert Powerslave, me plaisant à décortiquer les moindres atmosphères de ce nouvel opus.
Death Or Glory est un morceau qui démarre pourtant bien et ce, grâce à cette ligne mélodique qui accroche bien l'oreille mais dès le refrain, le groupe s'égare, enfin je ne sais pas, s'aventure dans une direction étrange tant et si bien que ce qui accrochait bien son auditeur fait quelque peu chou blanc, créant ainsi une rupture malvenue entre ce couplet qui semblait respecter une certaine gradation dramatique et ce refrain au final assez fade le faisant passer pour quelque chose d'anecdotique.
Après un clin d'oeil évident à Wasted Years, Shadows Of The Valley composé par la paire Gers/Harris, le titre évolue vers quelque chose de magnifique et ce, grâce à une ligne directrice fort bien construite l'habillant de guitares atmosphériques et de percussions séduisantes, portées par la voix enjôleuse de Dickinson. Ceci dit, le tout dernier solo de Gers me paraît un peu saturé.
Tears Of A Clown avec un rythme rappelant très brièvement un Heaven And Hell du Sab (prêtez-y attention...) propose quelque chose de plus syncopé mais foncièrement attrayant à mon humble avis avec un Dickinson qui chante sur une tonalité assez monocorde. Tout ceci s'achève sur un solo de haute volée. "Jouissif" qu'ils disent dans Rock Hard. Eh bien oui, Monsieur Lageat, vous avez tout à fait raison.
Débutant sur une douce ambiance à la Still Life, The Man Of Sorrows est porté par un chant très mélodieux de Bruce, faisant de ce titre quelque chose d'accrocheur et bien structuré. Bref, moi j'aime bien.
Considérée comme une pièce maîtresse, Empire Of The Clouds du haut de ses 18 longues minutes offre de nombreuses facettes du talent de ce groupe ô combien incontournable aujourd'hui. Démarrant sur une tonalité douce presque classique et ce, grâce la présence, ma foi, fort bien bienvenue d'un violoncelle, le groupe relate avec émotion le terrible crash du zeppelin R101 qui se produisit le 5 octobre 1930 à Allone dans l'Oise. Dickinson opte pour un chant virant sur le ton de la complainte, épaulé par la batterie puissante de McBrain qui ressemble davantage à des coups de boutoir bien plus qu'à autre chose comme si le percussionniste désirait se focaliser sur le choc même de ce crash surtout au moment de l'accélération finale. Entre-temps, il y a cette phase préparatoire où le vocaliste narre les prémisces de la catastrophe construite autour de rythmes complexes et syncopés très "jethro tulliens" parfois (on sait le sieur Harris fan de ce groupe mythique). Les six-cordistes nous offrent alors de belles envolées (normal, "on est dans le dirigeable") qui concluent cet album de fort belle façon alternant également avec les passages de violoncelle mentionnés plus haut.
Alors que dire de cet album si ce n'est qu'il est l'oeuvre ambitieuse d'un groupe arrivé à maturation car malgré ses défauts dus sans doute à la longueur de ses compositions, The Book Of Souls ne m'est apparu à aucun moment ennuyeux comme avait pu l'être pour moi The Final Frontier. J'ai même envie de le re-déguster ce soir pour m'en ré-imprégner comme cela avait été le cas en 1984 pour Powerslave que j'avais trouvé extrêmement riche. Une envie irrépressible de le re-découvrir afin d'en déceler d'autres facettes et d'autres surprises. Si le groupe doit terminer sur cet album, celui constituerait à mon sens, l'excellent épilogue d'une carrière exemplaire. Mais bon, il y en aura d'autres car le combo a encore des choses à dire. |
| | | Beurk Rogers Trou Duc' aux huiles essentielles
Nombre de messages : 25898 Age : 49 Localisation : www.rue des Boulets.con Date d'inscription : 15/11/2008
| Sujet: Re: IRON MAIDEN The Book Of Souls (2015) Dim 4 Nov - 12:55 | |
| Du bon (eternity, red/black, book, clown) et du moins bon (speed, death...). Et un énorme gâchis de par l’inutilité de sa longueur avec empire of the clouds qui aurait pu être énorme (car doté d’un feeling certain) si il avait été amputé de presque la moitié. Que de temps perdu sur ce morceau!!!
Alors, certes il est supérieur à son prédécesseur. Il passe plutôt bien. Mais encore fois, Harris et ses compères en font trop, alors qu’un peu plus de simplicité aurait rendu cet album bien plus appréciable. |
| | | nico Metal Master
Nombre de messages : 6248 Age : 49 Localisation : landes of the free (40) Date d'inscription : 06/07/2016
| Sujet: Re: IRON MAIDEN The Book Of Souls (2015) Dim 4 Nov - 13:05 | |
| je te rejoins sur Empire Of The Clouds, je perds le fil au moins 1 fois sur la durée du morceau à que fois, c'est systématique... |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: IRON MAIDEN The Book Of Souls (2015) | |
| |
| | | | IRON MAIDEN The Book Of Souls (2015) | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|